Cela n’aura échappé à personne, la crise sanitaire a aussi des conséquences sur l’immobilier. Si certaines étaient prévisibles, d’autres sont plus inattendues, notamment sur la location.
Aux départs des locataires pour perte d’emploi ou nouveau projet de vie en province s’ajoutent les étudiants privés de cours en présentiel qui n’ont plus l’utilité de se loger à Paris et sa proche banlieue. Le taux de vacance est donc déjà anormalement élevé en cette période contrariée. Nous recensons également sur les plateformes de location de nombreux logements, auparavant loués aux touristes pour des durées courtes, qui se retrouvent aujourd’hui désertés. Des locations proposées meublées qui viennent engorger un peu plus le marché de la location classique. Les délais de relocation étant nécessairement rallongés, de patience il faut s’armer !
